Lawford Edward ~

• Nom/Prénom : Lawford Edward
• Âge : 16 ans
• Descendance (sang pur, mêlé ou moldu) : sang pur
• Patronus : Un Margay.
• Baguette magique : Petite et fine, la baguette est faire d'un alliage d'orme et de filets du diable. Elle est assez rigide bien que plus souple aux extrémités. Elle contient un croc du Nundu.
• Projet(s) professionnel(s) : reprendre l'entreprise familiale.
• Qualité(s) : Finalement assez social, le jeune Lawford sait faire preuve d’une grande intelligence ainsi que d’un humour certain. Pas vraiment regardant sur les origines moldu ou non de ses camarades, il fait preuve d’ouverture d’esprit. Parfois sa témérité s’apparente à un certain sens du courage. Sa capacité d’adaptation est tout bonnement impressionnante.
• Défaut(s) : Le garçon n’en reste pas moins un homme avec ses défauts et là-dessus aussi de nombreuses choses sont à nommées. Son égoïsme et son manque d’empathie font de lui une personne grossière pour les Gryffondors les plus engagés. Son impulsivité voir son agressivité peuvent le rendre dangereux, bien que ce soit rarement le cas. Bourré d’orgueil et d’arrogance, son air hautain ne pourra jamais séduire les demoiselles les plus romantiques. Sa façon absolument injustifiée d’ignorer ses camarades les moins biens habillées et aussi un point noir de ce personnage.
• Manie(s) :Ne supportent pas les grands blancs qu’ils comblent en fredonnant ou en pianotant du bout des doigts. Quand il est impuissant Lawford serre le poing gauche (celui de la cicatrice)
• Don(s) : Aucun, hormis le fait de s’être attacher à un Fléreur, chose surprenante pour un Serpentard.
• Maison : Serpentard
• Année de commencement souhaité : Cinquième année

Lawford est un jeune homme lunatique capable de rire avec toutes les maisons confondues et le lendemain de menacer le plus innocent des Poufsouffles. Insaisissable et joueur, il passe son temps à chercher les points faibles d’autrui. Parfois ils s’adonnent à la manipulation de ses camarades avec un sérieux qui fait froid dans le dos. Toutefois le jeune homme n’est guère dangereux temps que rien ne vous oppose à lui. A part dans ses mauvais jours, c’est quelqu’un d’assez ouvert, bien que parfaitement hermétique aux soucis d’autrui. Elevé dans la richesse et le luxe, le jeune sang-pur cultive depuis le plus jeune âge l’égoïsme, voir même un certain dégoût des basses classes sociales. Pour lui les choses ont un ordre qui se doit d’être respecté, et dans son orgueil il lui arrive de snober les plus « rustres » des élèves, selon ses propres mots. Il attache une grande importance à être constamment entouré. Plus impulsif que la plupart des Serpentards, il lui arrive de prendre des décisions sur un coup de tête ou d’en venir aux mains pour finalement pas grand-chose. Parfaitement conscient que ce manque de maîtrise est une faiblesse, il s’efforce de compenser par une faculté étonnante à afficher un sourire lumineux en toutes circonstances. Edward est un garçon qui s’adapte à tout, un serpent qui mue pour mieux glisser dans ce monde. Souvent considéré comme banal il n’en reste pas moins perspicace et sensible aux malaises. Il lui arrive en de très rares occasions de faire preuve d’une tendresse maladroite envers ses proches. Proches qui se comptent sur les doigts d’une main à cause de son esprit volage qui est, semble-t-il, incapable d’apprécier plus qu’une nuit de passion ou une simple conversation amicale. Aussi éprouve-t-il le besoin perpétuel de changer d’entourage social et d’environnement. Par-dessus tout le jeune homme ne peut supporter la simple idée d’être redevable à quelqu’un.

Lawford est un garçon bien bâti, environ 1m80, corpulence moyenne et une bonne musculature. Il ne doit pas cette silhouette au hasard pratiquant depuis le plus jeune âge l’athlétisme et depuis peu la musculation deux heures par semaine. Il est blond, d’un blond vénitien sur les pointes et châtain à la racine. Une coupe de cheveux courte et savamment déstructurée. Un visage avec une mâchoire plutôt carré, un nez volontaire, quelques grains de beauté et une paire de prunelles sombres hésitant entre le brun et le gris. Des lèvres fines et roses pâles. Il dégage une odeur boisée et mentholée. La plupart du temps vêtu de sa robe de sorcier, il apprécie néanmoins d’enfiler un jean et un t-shirt quand l’occasion se présente. Au creux de sa paume gauche une petite cicatrice qui refuse de s’effacer.

Edward aime jouer, parler et la compagnie. Il aime le bruit, l’action et les ambiances festives. Grand adeptes des jeux d’argents, mais aussi de la compétition c’est un adversaire infatigable tant que le feu brille dans ses yeux. A l’inverse la solitude, le silence et le sérieux de certains sorciers lui sont intolérables. Il supporte avec beaucoup de difficulté de voir ses biens dans les mains d’autrui. Les longues relations ne sont pas faite pour lui qui jette ses amis dès que l’ennui le gagne. A noter aussi, sa profonde aversion pour tout ce qui peut s’apparenter à de la « pauvreté » : habits, langage et manières compris.

Il en pleurait, ses yeux suintaient l’amertume et la rage. Un gosse. Un simple gosse. Un bambin qui savait tout juste lire et écrire, bien que sa calligraphie soit parfaite et ses lectures dépourvues de la moindre hésitation. Pourquoi l’avait ont enfermé dans cette pièce sans fenêtre ? Pourquoi depuis deux heures déjà devait-il entendre un avenir dont il ne voulait pas ? Lui qui passait son temps à dessiner des oiseaux, quand les elfes avaient le dos tourné. Lui qui rêvait de partir à la découverte de terres vastes et inconnues. Lui qui se fichait éperdument du vieil homme rabougris qui lui récitait les notions magiques de base, depuis deux semaines. Lui qui voulait plus que tous d’offrir une liberté inaccessible. Il avait l’impression qu’on lui clouait les ailes au sol. Il regardait avec hargne et désespoir son géniteur. Pour lui pas de « papa » ou même « père », non lui on devait l’appelait Maître et c’était tout.

Pourtant l’homme parlait, il ne s’arrêtait jamais. Il ne frappait pas son fils pour son insolence. Non, il faisait bien mieux il l’ignorait. Comme si la seule chose qu’il voyait était une enveloppe, jeune et en bonne santé. Destiné à accomplir tout ce que l’avare avait été incapable de réaliser. Il dédaignait superbement les désirs de son fils et c’était bien là la pire des tortures. Pourtant Edward continuait à hurler son désaccord, toujours plus haineux. Car, jamais. Jamais. Il n’accepterait.

Un père rendu monomaniaque par ses échecs consécutifs, dans l’ascension sociale et professionnelle. Il voit en son fils le moyen de rattraper ses erreurs et de réaliser ses ambitions. A la limite de la démence, l’homme ne semble ne vivre que de ce projet. Il envoie régulièrement des lettres à Edward. Lettres auxquelles ce dernier ne répond, par ailleurs, jamais.
Une mère sèche et froide dans la sphère familiale et pourtant charmante et souriante dans le professionnelle. Ce paradoxe s’explique sans doute par l’obsession de son mari et le mariage par intérêt qu’elle a vécue. Jolie, il n’est pas impossible qu’elle est eu quelques aventures… Malgré son apparente indifférence, elle est très attachée à son fils à qui elle aurait souhaité offrir une vie plus… Saine.
Le reste de la famille Lawford n’a été rencontré que lors de réunion d’apparat où personne n’exprime ses idées de peur de sortir du lot.

Le vieil homme tapota avec irritation la tête de l’élève dissipé. Le concerné tourna de grands yeux ennuyés et passablement agacés vers l’auteur du contact. Le professeur et le disciple se contemplèrent, tous deux exaspérés et pourtant contraint d’être ici. L’un car il ne contredisait pas les ordres de sa mère, l’autre car il souhaitait récupéré le sac de toile remplit d’espèces sonnantes et trébuchantes. A bout de patience le maître tenta une nouvelle approche. Laissant échapper un long soupir, il fit :

Edward pris un air songeur, alors qu’un sourire malicieux étirait ses lèvres. Saisissant sa baguette, il exécuta le geste en murmurant l’incantation latine. Aussitôt une lumière imparfaite qui tiré un peu sur le bleu jaillit timidement du bout de bois. Bien que l’enseignant se doute que son élève se montrerait plus attentif, le résultat le laissa pantois. L’héritier Lawford n’attendit pas et pris la direction de la sortie. Juste avant de claquer la porte avec brutalité il s’écria :

Et il partit en courant, laissant son rire enfantin résonnait dans les couloirs lugubres du manoir.

• Prénom : Chantilly
• Activité : ça va ^^
• Les codes : Validé by Mélow'
• Comment as-tu connu le forum ? : Pub
• En quoi le forum t'a tapé dans l'oeil ? : le Choixpeau et les n'humains :3
• Votre personnage préféré ? : Sirius et Luna
• Autres ? : Je vous aime <3 Na, je suis pas flippante. A peine, à peine xD Moi aussi je te n'aime [M.D.R.]